Trop souvent les entreprises passent à côté de projets innovants à cause de réflexes mentaux inadéquats. En voici quelques-uns :
Les innovations de rupture vont à l’encontre des schémas mentaux tirés des expériences passées. Elles suscitent rarement un consensus au sein des entreprises qui les mettent en œuvre.
Les innovations de rupture se produisent souvent sur des domaines nouveaux pour l’initiateur qui change les règles du jeu du marché : Apple dans le téléphone mobile, Canon dans la photocopie, Honda dans l’automobile…
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Les innovations de rupture tirent parti de changements dans l’environnement. Ce qui a échoué dans le passé peut très bien réussir lorsque l’environnement a changé.
Les innovations de rupture sont souvent conduites en associant ou en combinant des compétences internes avec celles d’autres acteurs en partenariat ou par acquisition.
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Au début, l’innovation de rupture s’adresse à des clients qui se situent en dehors du cœur de marché existant.
L’innovation de rupture vise une niche avec des moyens limités. Le risque est donc limité.
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Comment innover en diminuant les risques
L’innovation de rupture modifie effectivement le business model. Les ratios sont donc différents des ratios traditionnels mais elle produit une croissance très rentable.
L’innovation de rupture vise à l’origine une niche qui va par la suite s’étendre et ouvrir sur d’autres marchés. C’est le potentiel à terme qu’il convient de considérer.
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Au début d’une innovation de rupture, un seul avantage concurrentiel suffit. Par exemple le premier IPhone n’avait même pas la 3G. Son avantage concurrentiel, c’était sa facilité d’utilisation.
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L’innovation incrémentale n’est avantageuse que lorsque le marché est en croissance. Si Nestlé n’avait fait que de l’innovation incrémentale, il n’aurait pas créé Nespresso : 34 % de croissance par an en moyenne jusqu’en 2008 contre 4% environ pour Nestlé…
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« Retrouver la croissance en période de récession »
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Il y en une de plus que je me suis entendue : Ne vous rendez-vous pas compte si cela était la seule qui marchait ?
Il est bien évident qu’il s’agit de raisons, ou de façons, de s’approprier les inventions des salariés gratuitement de la part des capitalistes d’entreprises (appelés employeurs) en utilisant la mauvaise foi.